Les marchĂ©s au Canada varient selon des taux de valeur diffĂ©rents. Dans l’article “Le rĂ©seau de distribution au Canada”, ils ont conclu les diffĂ©rentes valeurs de marchĂ© qui composent le marchĂ© de la distribution et de la consommation au Canada. 58% de supermarchĂ©s et de magasins de format traditionnel. 20 % des magasins de grande surface. 7 % de magasins indĂ©pendants et spĂ©cialisĂ©s. 9 % de pharmacies. 3 % des dĂ©panneurs et des stations-service (Nordea 2020). La vente au dĂ©tail de vĂȘtements est incluse dans au moins 3 de ces valeurs marchandes. Les magasins traditionnels sont des hypermarchĂ©s qui sont une combinaison de supermarchĂ©s et de grands magasins. Les magasins de grande distribution car il s’agit de magasins comme Macy’s, Sears, JCPenney, Et enfin les dĂ©taillants indĂ©pendants connus sous le nom d’opĂ©rations Ă magasin unique comme les boutiques. Le marchĂ© de la vente au dĂ©tail de vĂȘtements reprĂ©sente ainsi environ 85 % du marchĂ© canadien. 85 % est un trĂšs bon chiffre qui joue en faveur de l’implantation d’une entreprise ici.
Le marchĂ© canadien de l’habillement est fort et stable. Selon l’article “Le marchĂ© canadien de l’habillement – Statistiques et faits”, en 2016, la valeur du marchĂ© intĂ©rieur de l’habillement s’Ă©levait Ă environ 25 milliards de dollars amĂ©ricains, un chiffre qui devrait atteindre environ 30 milliards de dollars d’ici 2020 (Bedford 2020). L’implantation d’une entreprise au Canada serait une occasion parfaite de tirer profit de ce marchĂ© domestique de l’habillement. L’article conclut Ă©galement que parmi les familles canadiennes, la dĂ©pense moyenne en vĂȘtements et accessoires est restĂ©e stable ces deux derniĂšres annĂ©es, Ă environ 3 400 dollars canadiens par an. Si les gens dĂ©pensent leur argent en vĂȘtements Ă un rythme stable, cela permet aux entreprises de vĂȘtements d’avoir une source de trĂ©sorerie stable.
Figure 24.
(Une usine et les ouvriers qui travaillent, 2016)
Figure 25.
(Homme faisant glisser un chariot chargé de marchandises, 2014)